Une beauté discrète et insaisissable, une harmonie entre les pavillons et les compositions des maîtres jardiniers caractérisent ce chef-d’œuvre architectural occupant une place majeure dans les art
Voilà plusieurs siècles que les empereurs ne foulentplus ces allées. Depuis le transfert de la capitale à Tokyo en 1868, nul besoind’avoir une origine divine pour profiter des charmes du parc.
Sur lescollines à l'Est de Kyoto se trouve le discret Shûgaku-in.Construite entre 1655 et 1659, cette villa impériale loin du palais citadin déploie ses trois niveaux de jardinsdans un cadre magnif
Des plantes, des sentes serpentant près de minuscules plans d’eau, de vieilles femmes à la peau parcheminée courant après leur chapeau et d’élégants messieurs assis pendant des heures sur les bancs